Après 14 belles années chez Randstad et plus de 25 ans dans les Ressources Humaines, décider d’aller respirer ailleurs cela peut s’appeler la crise de la cinquantaine, la recherche de sens, la retraite anticipée ou bien un nouveau départ.
En tout cas il faudra apprendre à respirer seul et à prendre conscience que dans un métier difficile et des entreprises exigeantes, il y a aussi tout un système de sécurité et de plaisir qu’il faut savoir quitter.
La question est donc de savoir s’il est possible de survivre sans cette respiration artificielle que l’on peut appeler zone de confort dans le sens où elle est connue et relativement maîtrisée.
La réponse est peut-être aussi simple que la question et pourrait être formulée ainsi : en capitalisant sur l’expérience acquise dans des structures matures et en la mettant au service de projets inspirants et solidaires. D’abord on apprend, ensuite on comprend, après on fait et maintenant est venu le temps du partage.
C’est la fin de l’ère du «1 diplôme = 1 métier = 1 carrière» au profit de l’ère du SWITCH comme on pourra le lire avec profit sur le site de switch.
Travail à faire seul ou accompagné, mais travail à faire.
A suivre…
